C'est la fêtes des mères (Je t’aime) ! vous avez besoin d'un cadeau pour votre maman qui peut la rendre heureuse ? nous vous proposons des poèmes que vous pourrez offrir comme cadeau comme un geste simple pour la fête des mères (Je t’aime).
Qui m'embrasse le matin...
Me fait plein de calins?
Qui m'habille et me coiffe...
Me donne à boire si j'ai soif?
Qui prépare des gâteaux...
Soigne mes petits bobos?
Qui raconte des histoires...
Pour m'endormir le soir?
C'est ma maman,
Maman chérie....
Et c'est elle
La plus jolie!
Clair de lune
La lune était sereine et jouait sur les flots.
La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise,
La sultane regarde, et la mer qui se brise,
Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots.
De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare.
Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos.
Est-ce un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos,
Battant l'archipel grec de sa rame tartare ?
Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour,
Et coupent l'eau, qui roule en perles sur leur aile ?
Est-ce un djinn qui là-haut siffle d'une voix grêle,
Et jette dans la mer les créneaux de la tour ?
Qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ?
Ni le noir cormoran, sur la vague bercé,
Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé
Du lourd vaisseau, rampant sur l'onde avec des rames.
Ce sont des sacs pesants, d'où partent des sanglots.
On verrait, en sondant la mer qui les promène,
Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine...
La lune était sereine et jouait sur les flots.
de Victor Hugo
"Oh! l'amour d'une mère! amour que nul n'oublie!
Pain merveilleux qu'un Dieu partage et multiplie!
Table toujours servie au paternel foyer !
Chacun en sa part, et tous l’ont tout entier !"
Victor Hugo
La Courbe de tes yeux
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.
C’est toi
C’est toi
Qui m’a porté, m’a donné le jour
Balancé, caressé, cajolé
C’est toi
Qui depuis toujours
M’a chéri, m’a aimé, m’a bercé
C’est toi
Qui a séché mes larmes
Adouci mes peines
C’est toi
Qui m’a offert mes premières armes
Contre la vie et la déveine
C’est toi
Qui m’offre ton épaule
Quand j’ai peur et que le jour s’achève
C’est toi
Qui me console
Quand je fais un mauvais rêve
C’est toi
Qui me supporte tout le temps
Qui me cède ce bonheur
Qui me fait sourire
C’est moi
A présent
Qui te rend cet honneur
Un peu, pour te séduire
C’est pour toi
Sincèrement
Ce petit mot de mon cœur
Juste pour le plaisir
Bonne Fête, tout simplement
A toi, maman…
Michaëla Degui
Poème de la fête des mères (Je t’aime) 1 :
Qui m'embrasse le matin...
Me fait plein de calins?
Qui m'habille et me coiffe...
Me donne à boire si j'ai soif?
Qui prépare des gâteaux...
Soigne mes petits bobos?
Qui raconte des histoires...
Pour m'endormir le soir?
C'est ma maman,
Maman chérie....
Et c'est elle
La plus jolie!
Poème de la fête des mères (Je t’aime) 2 :
La lune était sereine et jouait sur les flots.
La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise,
La sultane regarde, et la mer qui se brise,
Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots.
De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare.
Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos.
Est-ce un lourd vaisseau turc qui vient des eaux de Cos,
Battant l'archipel grec de sa rame tartare ?
Sont-ce des cormorans qui plongent tour à tour,
Et coupent l'eau, qui roule en perles sur leur aile ?
Est-ce un djinn qui là-haut siffle d'une voix grêle,
Et jette dans la mer les créneaux de la tour ?
Qui trouble ainsi les flots près du sérail des femmes ?
Ni le noir cormoran, sur la vague bercé,
Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé
Du lourd vaisseau, rampant sur l'onde avec des rames.
Ce sont des sacs pesants, d'où partent des sanglots.
On verrait, en sondant la mer qui les promène,
Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine...
La lune était sereine et jouait sur les flots.
de Victor Hugo
Poème de la fête des mères (Je t’aime) 3 :
"Oh! l'amour d'une mère! amour que nul n'oublie!
Pain merveilleux qu'un Dieu partage et multiplie!
Table toujours servie au paternel foyer !
Chacun en sa part, et tous l’ont tout entier !"
Victor Hugo
Poème de la fête des mères (Je t’aime) 4 :
La Courbe de tes yeux
La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu
C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.
Feuilles de jour et mousse de rosée,
Roseaux du vent, sourires parfumés,
Ailes couvrant le monde de lumière,
Bateaux chargés du ciel et de la mer,
Chasseurs des bruits et sources des couleurs,
Parfums éclos d'une couvée d'aurores
Qui gît toujours sur la paille des astres,
Comme le jour dépend de l'innocence
Le monde entier dépend de tes yeux purs
Et tout mon sang coule dans leurs regards.
de Paul Eluard
Poème de la fête des mères (Je t’aime) 5 :
C’est toi
C’est toi
Qui m’a porté, m’a donné le jour
Balancé, caressé, cajolé
C’est toi
Qui depuis toujours
M’a chéri, m’a aimé, m’a bercé
C’est toi
Qui a séché mes larmes
Adouci mes peines
C’est toi
Qui m’a offert mes premières armes
Contre la vie et la déveine
C’est toi
Qui m’offre ton épaule
Quand j’ai peur et que le jour s’achève
C’est toi
Qui me console
Quand je fais un mauvais rêve
C’est toi
Qui me supporte tout le temps
Qui me cède ce bonheur
Qui me fait sourire
C’est moi
A présent
Qui te rend cet honneur
Un peu, pour te séduire
C’est pour toi
Sincèrement
Ce petit mot de mon cœur
Juste pour le plaisir
Bonne Fête, tout simplement
A toi, maman…
Michaëla Degui
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